Quand le rêve devient réalité !

C’est dans l’hémicycle Simone Veil en collaboration avec la région Ile-de-France que s’est déroulée cette cérémonie émouvante présidée par Evelyne Ciriegi, Présidente natation du comité régional olympique d’île de France. Grâce à ces bourses, de nouvelles opportunités vont s’ouvrir pour cette jeunesse.
Un chien au bureau, c’est un moment de bonheur, d’apaisement et de partage pour tous
Nous avons souhaité être présents à la diffusion du documentaire
Vincent & moi
réalisé par Edouard Cuel et Gaël Breton
présenté le 26 juin 2018 au cinéma Le Central à Puteaux

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Angélique Despretz l’ambassadrice des chemins du bonheur a plein de rêves à partager !
Les chemins du bonheur ont désormais une ambassadrice hors-pair.
Elle s’appelle Angélique Despretz.
Elle possède un don et une grâce innés pour murmurer à l’oreille des chiens §
Angélique est une jeune fille de 10 ans déterminée et joyeuse, qui aime les animaux plus que tout et les chiens en particulier ! Attentive à leurs besoins, elle sait leur prodiguer de l’amour, un amour qu’ils lui rendent bien.
Cette rencontre entre notre association et Angélique montre une fois encore, que la vie est faite de parcours incroyables, que le travail d’équipe, la confiance et l’enthousiasme qui sont à la base de notre engagement peut prendre des formes toujours plus diverses et porteuses d’avenir.
Angélique accompagne le travail de l’association avec passion : promenades, défilés, participation aux différentes activités ludiques…
Angélique aimerait pouvoir s’investir encore plus. Elle rêve d’un monde où humains et chiens vivraient en harmonie et seraient heureux, un monde fait de tendresse réciproque… Et quand elle imagine de nouveaux projets ses yeux brillent avec malice :
« Il faudrait créer des espaces ouverts aux chiens, où il pourraient être heureux, où il pourraient découvrir les joies de la montagne, de la mer, courir et jouer avec les enfants. »
Petite rétrospective en image
Kedi, un hymne à l’amour et à la gloire des chats d’Istanbul
Par Muriel Sonnet
Courez vite voir le film Kedi de Cedya Torun, véritable hymne à l’amour et à la gloire des chats !
Kedi, sous titré « des hommes et chats » est un magnifique documentaire turc sur les chats de gouttière d’ Istanbul.
Le film montre Istanbul à travers les yeux de sept chats de gouttière à la personnalité différente :
San, surnommée la débrouillarde, Bengu l’aimante, Aslan Parçasi le chasseur, Psikopat la psychopathe, Deniz le sociable, Gamziz le joueur, Durman le gentleman.
Ils nous entrainent à travers les différents quartiers d’Istanbul, ville où les chats sont sacrés et nous font partager leur quotidien et celui de ceux qui les aiment..
Un film tendre et beau, à l’atmosphère poétique et dépaysante : un véritable hymne à l’amour et à la gloire des chats !
Hélie & Melchior
Le couple du bonheur !
En novembre 2016, Melchior, chat de race Sacré de Birmanie, né le 8 avril 2016, a rejoint l’association Les chemins du bonheur. Aussitôt adopté par la chienne Hélie, il lui voue une tendresse passionnelle. Il la considère comme sa mère et sa protectrice.
Il accueille avec une infinie douceur tous les nouveaux pensionnaires. Il leur prodigue amitié et attentions délicates.
Depuis janvier 2017, Melchior tout comme Hélie, fait des visites aux personnes vulnérables en institutions médicalisées. Il prend sa tâche très au sérieux, d’une douceur infinie, il sait s’adapter à chaque personne, prodigue et reçoit des caresses et ne manque jamais d’obtenir un sourire ou un compliment.
Hélie & Melchior….
le bonheur à l’état pur ou
comment s’entendre à merveille comme chien et chat
!!♥♥ !!
Lola, une partie de moi même qui m’a sauvé la vie
Le poignant témoignage d’une relation d’amour qui dure depuis 17 ans
C’est par une après-midi pluvieuse et sombre d’avril 2000, alors que je me promenais sans but sur les quais de Paris, que j’ai vu Lola pour la première fois. Dès que cette petite boule de poils m’a aperçu à travers la vitre de l’animalerie, elle est devenue comme folle, bondissant dans tous les sens tout en me fixant de ses gros yeux noirs … A la fois surpris et intrigué, j’ai pris le temps de vérifier si cette toute petite femelle carlin faisait la même fête à tous les passants ; mais non. Dès que je réapparaissais dans son champ de vision : Même cirque effréné…
J’ai pris le temps de la nuit pour réfléchir et j’ai décidé de tenter une expérience. J’allais repasser devant la boutique et, si la bête me reconnaissait comme la veille, j’étais décidé à mêler son avenir au mien… Et, surprise, en me voyant sur le trottoir, de l’autre côté de la vitrine, la petite chienne m’a reconnu et s’est mise à bondir dans tous les sens en me regardant. Elle était longue comme ma main et s’est cramponnée à mon pull. Je l’ai appelée LOLA comme l’héroïne du film « l’Ange bleu ». Elle ne m’a pas lâché jusqu’ici et va sur ses 17 ans.
A deux ans, on lui a diagnostiqué plusieurs petites tumeurs cancéreuses de grade III concentrées sur une de ses pattes arrière. Pronostic très réservé, air compatissant du vétérinaire… On me propose de la soumettre à un protocole de rayons à Maison Alfort. Je casse ma tirelire et sacrifie mes vacances d’été à faire des allées et retours à l’école vétérinaire pour suivre son traitement hebdomadaire, sans trop y croire… Jamais elle ne s’est plainte, elle a toujours séduit tout le monde par ses pitreries, sa douceur et sa gentillesse. Le protocole de soins terminé, on n’a plus jamais parlé de cancer.
Toute cette attention et tout cet amour que je lui avais donnés ne l’ont pas été en vain : LOLA m’a sauvé la vie deux fois ! Sans elle, je ne serais pas là à raconter le roman de sa vie…
Alors qu’elle avait environ trois ou quatre ans, j’ai été frappé brutalement d’une pathologie rare qui se traduisait au quotidien par des douleurs neurologiques insupportables. Pendant des années, j’ai souffert le martyre, allant de médecins en médecins, tous incapables de traiter mon mal. Impossible de faire trois pas sans risquer de perdre connaissance de douleur, le syndrome qui me faisait souffrir entraîne souvent le suicide des malades. Mais ma LOLA avait besoin de moi ; j’étais responsable d’elle et sa vie « d’animal de compagnie » dépendait totalement de ma capacité à la prendre en charge. C’est donc elle qui m’a donné le courage de me lever, régulièrement, chaque jour, pour la promener et acheter de quoi la nourrir. Sans elle, le plus facile était de me laisser mourir sous ma couette.
Un jour, alors que je lui avais préparé sa gamelle dans la cuisine et que j’étais dans ma chambre en proie à de terribles douleurs, Lola est apparue dans le chambranle de la porte et s’est mise à aboyer avec insistance. Or, les carlins ne sont pas des chiens qui aboient habituellement. C’est la première fois que je l’entendais aboyer de la sorte. Je lui ai fait signe de se taire, de retourner finir ses croquettes mais rien n’y faisait. Pris d’un doute, j’ai fait l’effort de me lever pour la suivre… Elle courait devant moi vers la cuisine, comme anxieuse, alors que je râlais déjà. Dans la cuisine, une forte odeur de gaz m’a pris au nez : Une casserole avait débordé, éteint le feu et le four, quant à lui, était bien allumé. Quelques minutes encore et l’explosion était inévitable.
Ce jour-là, ma petite chienne a compris le danger, a su me prévenir et m’a sauvé la vie…
J’ai finalement eu la chance de trouver un médecin capable poser un diagnostic et de me traiter en conséquence et, depuis plus de 16 ans, je vis avec cette petite bête, devenue une partie de moi, au rythme des saisons, des voyages, des amis fidèles qu’elle se fait. Elle était rousse, aujourd’hui, elle est argentée ; elle est sourde et ne voit plus grand-chose mais elle est toujours très gourmande ; comédienne, elle n’a pas son pareil pour attendrir ceux qui sont susceptibles de lui donner quelque chose à manger, elle est toujours affectueuse et tendre. J’en prends soin comme d’une très très vieille dame chancelante, avec beaucoup d’attention, de respect et d’Amour.
La vie en rose avec Easy… la socialisation pour un quotidien doux et réconfortant à tous les âges de la vie.
Lorsque ses deux aînés sont partis de la maison, la fille cadette, Gabrielle qui était âgée de 15 ans s’est tout d’un coup retrouvée bien seule. Françoise de Valmont leur mère, professeur de mathématiques, putéolienne depuis l’enfance a compris qu’il fallait agir rapidement pour combler le vide soudain laissé dans la maison.
C’est ainsi qu’Easy, une joyeuse coton qui a aujourd’hui 6 ans a « déboulé », petite boule de poil, dans la maison.
Au début, Easy était un peu sur la réserve avec les autres chiens après avoir été confrontée à un labrador agressif. Un séjour chez Aline et Hélie l’ont formidablement socialisée avec ses congénères. Aujourd’hui, elle se promène sans laisse avec une belle assurance.
Easy apporte sérénité à tout son entourage.
Gabrielle avait des problèmes d’endormissement à l’adolescence. Easy se couchait alors sur son lit près de ses pieds. Une fois la jeune fille endormie, sa mission était accomplie et elle filait dans son panier. Gabrielle a quitté elle aussi la maison. Easy continue de tenir un rôle central chez les De Valmont. Le père de Françoise a eu un Alzeimer. Cette dernière ne manquait pas d’aller le voir régulièrement avec Easy. Elle le mettait sur ses genoux, et le vieil homme reprennait goût à la vie. Bientôt, il ne reconnut plus sa fille, mais jusqu’au bout, il reconnaissait Easy qui bondissait vers lui joyeuse à chaque visite.
Frisbee l’intrépide et la joyeuse Mathilde :
attention aux balles de Tennis !
Frisbee est une ravissante Jag terrier allemand.
Mathilde 12 ans et elle ont su tout de suite qu’elles étaient faites l’une pour l’autre lorsqu’elles se sont rencontrées dans un salon en Charente Maritime.
Frisbee et Mathilde ont une complicité hors pair.
L’adolescente aime parcourir l’île de Puteaux avec sa trottinette, tirée par Frisbee comme un chien de traineaux.
Du haut de ses 5 ans et demi et de ses 9 kilos, la chienne part en flèche, bondit, joue.
Intrépide, à trois mois déjà, la petite Frisbee s’était cassée un genou en tapant dans une marche d’escalier en se précipitant vers de la nourriture.
Le vétérinaire avait prévenu après l’opération : « Elle boitera sans doute toute sa vie ! ». Que nenni ! Malgré son immobilisation de trois semaines, elle est repartie à l’assaut de la vie avec une énergie égale. Jouer, encore jouer, toujours jouer…
Sa passion était les balles de tennis. Mais après un an à attraper, mordiller, tenir à pleine gueule les célèbres balles jaunes , ses canines se sont sérieusement usées.
« Attention ! » avait cette fois avisé le vétérinaire : « la texture des balles des tennis – à la fois molles, rebondissantes et fermes -peut gravement endommager la dentition des chiens ».
Depuis, Frisbee dispose d’autres jouets : cordes, doudous ou balles plus dures conçues spécialement pour les chiens.
Frisbee a vu grandir Mathilde qui est aujourd’hui une jeune fille de 12 ans pleine d’entrain. Elle apporte à tout le foyer apaisement et de franches parties de rigolades.
Et quand il arrive à Mathilde et à sa mère de se disputer, Frisbee désapprouve et se terre. Il n’y a donc pas d’autre choix que de se réconcilier.